EDITORIAL N° 14 - OCTOBRE 2024

PRIX ET MEDAILLE DES RACINES CULTURELLES DU SENAT AU SALON DU LIVRE DE RAMBOUILLET (78) LE 15/9/24

Photo © Bernard DELATTRE
« Il n’est point d’homme qui n’ait son heure, ni de chose qui n’ait sa fonction. »
(Pirkei Avot, Traité des Pères – Ch.4,3)

Ainsi donc, le Prix et la Médaille des Racines Culturelles ont été offerts par le Sénat à notre oeuvre globale Féeric, les Lieux magiques sur la demande de l’Association Arts et Lettres du Salon du Livre de Rambouillet (78) le 15/9/24.

Merci à ces derniers – Daniel BROT et Bernard DELATTRE – M. Gérard LARCHER, Président du Sénat, pour leur choix. Sans oublier la Présence, et les puissances, notamment templières, pour leur soutien sans faille. Car notre démarche est aussi au service de la France éternelle.

Je partage ce prix avec mes véritables co-auteur(e)s, Catherine RAMEAU DELAPIERRE, et Tudor BANUS, le meilleur illustrateur roumain de sa génération. Je salue également Emmanuelle BILLARD du Studio PESSINGER pour avoir rendu nos livres graphiquement plus vivants.

Merci également à tous ceux qui nous ont aidé, promu et partagé nos livres. Quant à la Fée Eric, bientôt 68 ans, elle paye sa dette cachée de l’équilibre entre la loi de la mère et celle du père. Rétrospectivement, entre mes deux prix littéraires bien symboliques : Poèmes Force de vie (1995 – Brékilian, Brocéliande)(*), et ce dernier, 29 ans se sont écoulés. Soit dans sa guématrie : célébration de ma légende personnelle en 2 + 9 : 11, la force de la révélation.

Plus encore, les deux faces de la Médaille du Sénat indiquent d’une part le portique et les statues de la Connaissance, et d’autre part l’assemblée des Anciens. Notre degré d’âme nous amène un jour là où nous devons aller. « Car la Force de Vie qui éclaire tout est Force d’Amour. Elle correspond pour les Sapients à l’Or céleste du 7° degré. » (cf. Introduction d’AD GRAD)(*)

2024 est une année archétypale sur bien des plans dans notre Hexagone des Contraires. Le Puzzle individuel et collectif s’assemble dans de sens-là. Le présent dicte sa loi. Et rien de nouveau sous le soleil et la pluie.

« Ils reviendront, ces dieux que tu pleures toujours !
Le temps va ramener l’ordre des anciens jours ;
La terre a tressailli d’un souffle prophétique…

Cependant la sibylle au visage latin
Est endormie encor sous l’arc de Constantin :
– Et rien n’a dérangé le sévère portique. »

Cf. DELFICA de Gérard de NERVAL.

Effectivement, la Paracha du Shabbat de la veille (14/9/24), KI TETSE (Deutéronome) »Quand tu iras », indiquait la bonne action pour le monde à venir, soit un état spirituel en perlaboration. L’essentiel étant donc de participer pour remplir son rôle patriarcal (Jacob). Telles vont les petites et grandes choses de l’existence ; kabbalistiquement correctes.

« Bénie soit la Gloire de Dieu en son Lieu (ses lieux). » (Ezéchiel 3,12)

© Eric LE NOUVEL

Une mention spéciale pour la Féerie à la française et francophone entre vents et marées dans les feux du renouvellement de la brillante Féerie anglo-saxonne sous son règne sans partage. Un phénomène de société inscrit durablement à notre époque si peu épique.
Salut à Hervé GOURDET, notre éternel Troubadour, qui résiste avec ses Contes et Légendes de l'Ardenne mystérieuse, etc.